« Un cri de colère que la France réprima dans le sang en ouvrant le feu sur ceux-là même qui avaient risqué leur vie pour qu’elle puisse être libérée », évoque Jean-Noël Barrot dimanche 1er décembre lors des commémorations des 80 ans du massacre de Thiaroye. À l’instar d’Emmanuel Macon quelques jours plus tôt, le ministre français des Affaires étrangères reconnait les évènements de Thiaroye comme un « massacre ». Une première pour un dirigeant français en exercice.
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